Rappelons que ce projet, subventionné à hauteur de 933 000 $, a été proposé par M. Sergio Rossi (Université du Québec à Chicoutimi) dans le but de définir le potentiel adaptatif et productif de l’érable à sucre en milieu nordique et les bénéfices de son écosystème en se basant sur la capacité des populations à exprimer une acclimatation locale. Un regard sera porté sur l’évolution de la niche écologique de l’espèce et sur l’impact des changements climatiques sur la production de la sève et des services écosystémiques fournis par les érablières. Une rencontre aura lieu entre les différents acteurs le 17 janvier prochain pour présenter l’état d’avancement des travaux.